SÉLECTION, PRIX HORS CONCOURS
FINALISTE, PRIX JOVETTE-BERNIER
SÉLECTION, PRIX ARTISTE — CARRIÈRE ÉMERGENTE
FINALISTE, PRIX JANETTE-BERTRAND
À la hauteur où le fleuve Saint-Laurent devient salé, abritée par les cloisons de bois d’une cabane centenaire, Myriam écrit.
Une intruse dans sa cuisine d’Hochelaga, un matin de printemps. Il a suffi de cette irruption pour rompre l’apparent équilibre que connaissait jusqu’ici la jeune femme, entre ses cours de lettres et le militantisme féministe. Rencontrer Mira a déclenché chez Myriam une série de rêves où le fleuve se soulève, menaçant de l’avaler.
Dans le cabinet de sa psychanalyste, elle suit le jeu de la lumière sur les murs et des souvenirs qui remontent : amours adolescentes, homophobie ordinaire, tensions avec une mère dont l’affection l’étouffe. Peu à peu, Myriam s’ouvre à son attirance pour Mira. Avec les rêves comme phare, la psychanalyse comme perspective et l’écriture comme moyen, elle cherche la source de ses hantises pour enfin les dépasser et s’abandonner à son désir.
Les phrases denses de L’embouchure, penchées sur l’infinie richesse des signes, font glisser le réel vers la fiction et inventent les contours d’une libération.
Couverture : Claire Cansick
« Un petit bijou d’écriture. »
– Châtelaine« Un premier roman renversant! »
– Les libraires« L’histoire est portée par un style à pic et compact qui rend bien le chaos intérieur suscité par pareille entreprise. »
– L’Actualité« On assiste à la naissance d’une écrivaine. »
– Il restera toujours la culture« Poétique et envoûtant. »
– Mélina Cornejo« Un roman d’une douceur inédite. »
– À échelle humaine« Un voyage captivant sur des mers intranquilles. »
– Le Devoir« Le premier roman de Myriam de Gaspé est un beau tourbillon. »
– Nouveau Projet« Ce roman percutant marque le début d'une voix littéraire à suivre. »
– La Presse« Un magnifique roman porté par les mouvements du fleuve. »
– sarriette.de.ville